mercredi 25 août 2010

Alistair m'a tuer

Extrait du chapitre 2 de Crystal Clear: A Human-Powered Methodology for Small Teams d'Alistair Cockburn :

Even with the best of intentions, developers will work on things that only randomly bring business value if they are not told what will provide business value.

Je suis un peu désespéré de lire ça mais bon... heureusement il y a d'autres choses intéressantes à retenir de cet ouvrage.

5 commentaires:

  1. « Tous des incapables moi je vous dis! Mieux vaut leur cacher l'essentiel dès le départ, comme ça on a au moins une chance que ça marche! »

    Vu de loin, j'ai un petit peu de mal à faire la correspondance avec une méthodologie "Human-Powered".

    Espérons que cette fameuse méthodologie n'ait pas été réalisée par une personne originaire du développement, ou alors, surtout, il ne faut pas qu'elle sache où est la valeur!

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  2. Je suis d'accord avec cette phrase. Peut-être ne la comprenons-nous pas de la même façon.

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  3. Pour moi c'est une phrase infantilisante. Je l'interprète ainsi : pour qu'un développeur apporte de la valeur, il faut que quelqu'un lui dise ce qui apporte de la valeur.

    C'est un peu comme donner du poisson ou apprendre à pêcher. J'ai l'impression qu'ici on a décidé de donner du poisson.

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  4. «Pour qu'un développeur apporte de la valeur, il faut que quelqu'un lui dise ce qui apporte de la valeur.»

    Oui, mais ce n'est pas infantilisant. Le développeur n'est pas bien placé, de par son statut, pour savoir ce qui apporte de la valeur. Seul le client le sait.

    C'est juste une question de séparation des responsabilités, bien souvent très difficile à obtenir : le client détermine le « quoi » et le développeur le « comment ».

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  5. C'est surtout le caractère définitif de la phrase qui me désespère. Je crois en un monde dans lequel un développeur est capable d'apprendre ce qui a de la valeur pour son client.

    ... a commencer par le monde dans lequel il est lui-même un utilisateur de ce qu'il produit.

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